Titre original : The Prince of Tides
Résumé :
Résumé :
Savannah et Tom Wingo, nés par une nuit de tempête en 1944 et leur frère aîné d'un an, Luke, ont vécu une enfance dans un coin de paradis en Caroline du Sud. Élevés à la dure par un père pêcheur de crevettes, violent, et une mère trop belle pour la petite ville de Colleton, les enfants vont grandir entre bonheurs et tragédies qui vont émailler leur enfance et leur adolescence. C'est cette vie-là que va raconter Tom à Susan Lowenstein, la psychiatre de Savannah après que celle-ci eut réchappé d'une nouvelle tentative de suicide...
Mon avis :
Je tiens tout d'abord à remercier Nelfe qui par son billet enthousiaste m'a donné envie de lire ce livre. Je l'ai donc acheté il y a quelques semaines et j'ai profité de la lecture commune proposée par George pour me lancer dans ce pavé de 1069 pages ! Que j'ai dévorées. Je vais revenir plus longuement sur ce que j'en ai pensé mais ce livre est d'ors et déjà mon coup de coeur 2011 et il sera bien difficile de le déloger de la première place de mon top.
Tom et Savannah sont nés par une nuit de tempête en 1944. Avec leur frère Luke, ils grandissent sur la petite île de Melrose, près de la ville de Colleton en Caroline du Sud. Leur père est pêcheur de crevettes et c'est un homme violent qu'ils vont détester tout au long de leurs jeunes années. Leur mère, une beauté, va toujours souffrir de vivre dans une ville qui la rejette et cette souffrance rejaillira sur ces relations avec ses enfants. Leur jeunesse est malgré tout ponctuée de grand bonheur mais aussi des malheurs et de tragédies qui vont marquer les 3 enfants à jamais mais différemment. Tom va devenir professeur d'anglais et coach sportif sans réelle ambition, Luke sera le monsieur muscle de la famille, toujours prêt à défendre sa famille et à se battre contre des moulins à vent. Quant à Savannah, elle devient une poétesse reconnue mais écorchée vive qui a du mal à vivre avec ses démons.
C'est lors d'une nième tentative de suicide à New York où elle vit que sa psychiatre, Susan Lowenstein, demande à Tom venu soutenir sa soeur, de raconter cette vie dans les marais de Colleton afin de mieux connaître les raisons du mal-être de Savannah. Le récit va également permettre à Tom de se retrouver...
C'est difficile de parler de ce livre dense et épais tellement il y aurait de choses à dire. J'ai aussi tellement envie de vous faire partager mon enthousiasme que je ne sais pas par où commencer !
Le livre est d'abord une formidable évocation du sud des États-Unis où, 100 ans après la guerre de Sécession, on appelle encore les noirs des "Négros" et où l'arrivé de l'un d'en eux dans un lycée blanc fait encore scandale. Le Sud ce sont aussi des hommes fiers, machos, racistes qui ne conçoivent pas de vivre ailleurs que dans leur sud bien-aimé et des femmes langoureuses qui conçoivent tout à fait de se faire traiter comme une belle plante, qu'on leur tienne la porte et autres choses qui font bondir les féministes new-yorkaises.
C'est à tout ce pan de l'histoire auquel nous assistons au travers des récits de Tom, mais aussi des paysages magnifiques et une époque qui disparaît peu à peu face au "progrès" et à l'avidité de certains. C'est le naufrage de ces marais et d'un certain Art de Vivre qu'on vit et on a beau parfois être rebuté par ces sudistes bornées, on ne peut s'empêcher de pleurer sur la disparition de ce mode de vie antagoniste avec le monde d'aujourd'hui.
Il faut dire aussi que Pat Conroy sait magnifiquement parler de cette région et que ses mots prennent des accents lyriques pour parler d'un paysage, d'un coucher de soleil ou du passage du marsouin Snow. Après, ça comment ne pas être touchée par cette Caroline du Sud ?
Bien sûr, le Prince des marées est avant tout l'histoire d'une famille ! Et quelle famille ! J'avoue avoir été happée par leur vie dès les premières pages, dès que Tom commence à raconter sa Caroline du Sud et qu'on fait connaissance avec lui.
Il y a des moments magiques, surtout entre les trois enfants qui se vouent un amour indéfectible et qui sont unis face à des parents sévères et parfois violents. J'ai beaucoup aimé les scènes de leur enfance, même si parfois certaines sont très dures. J'ai adoré les voir grandir, devenir des adultes, différents les uns des autres et que les tragédies vont unir ou parfois séparer. C'est une vraie fresque familiale que nous offre Pat Conroy sur presque 40 ans et je ne sais pas quoi dire de plus sans vous en raconter trop.
Mais le Prince des marées n'est pas seulement l'histoire de la famille Wingo c'est aussi le présent (enfin le présent dans le livre c'est à dire 1980-81) quand Tom passe plusieurs semaines à New York à essayer de comprendre et de faire comprendre pourquoi Savannah est une telle écorchée vive. J'ai beaucoup, mais alors beaucoup aimé, sa relation avec le Docteur Susan Lowenstein, faite de séduction et souvent d'incompréhension. Leurs joutes verbales sont un vrai bonheur.
Mais l'histoire ne serait pas la même sans ses personnages si attachants. À commencer par Tom. Tom, l'anti-héros, celui qui décide de ne rien décider, qui ne se bat contre rien et qui utilise l'humour comme une armure pour se protéger de l'extérieur. J'ai beaucoup aimé ce gars pris entre une soeur géniale et un frère qui se bat pour ses convictions. Je l'ai trouvé très touchant. J'ai aussi beaucoup aimé ses constantes contradictions et son humour perpétuel. Bien sûr cet humour cache ses fêlures mais j'aimais bien les réparties qu'il sortait, que ce soit à sa mère ou au Dr. Lowenstein. Difficile pour moi d'en parler plus car il faut que vous le découvriez par vous-mêmes.
La plus intéressante est bien sûr Savannah, l'adorable petite fille à la langue bien pendue, l'adolescente un peu perdue parfois, la malmené de la vie et considérée comme quantité négligeable par ses parents, parce que fille, la poète géniale et torturée, la soeur jumelle de Tom. C'est un vrai beau personnage de roman et j'ai regretté qu'on la voit assez peu finalement dans le présent.
Quant à Luke, le 3e larron, le frère aîné, ce n'est peut-être pas le plus intéressant mais j'ai aimé sa force tranquille, son jusqu'au-boutisme et sa façon de protéger ses frère et soeur plus jeune.
Comme le récit est vu à travers les yeux de Tom, les parents sont présentés comme étant des personnages assez abjects. Un père violent de façon erratique, qui a toujours des "bonnes idées" qui mettront plus d'une fois la famille sur la paille. Une mère superbe, qui se prend des coups, qui rêve d'une autre vie, et qui ne sait finalement pas s'y prendre avec ses enfants.
Sans vouloir absoudre la violence du père, bien au contraire, je pense qu'il faut replacer l'histoire dans son contexte et son époque. Il me semble que nombre de pères des années 50 aient eu la ceinture facile et la violence au bout des mains. Ça n'excuse pas Henry Wingo mais je pense qu'il n'est pas un cas unique.
J'ai beaucoup aimé les Grands-Parents Wingo. Je pense que sans eux, la vie des enfants aurait été un véritable enfer et qu'ils ont connu avec ces deux personnes-là, la tendresse qui leur manquait par ailleurs. Il n'y a qu'à voir comment Tom raconte les lubies de son grand-père et les frasques de sa grand-mère. J'ai particulièrement aimé celle-ci, la fantasque Tolitha, libre avant toutes les femmes, qui vit au rythme de ses passions.
Quand on fait connaissance de Sallie, la femme de Tom, au début, je me suis dit que j'allais beaucoup aimé la relation qu'elle avait avec Tom, cette façon dont ils se renvoyaient la balle avec humour et puis, sans en dire vraiment plus, finalement on la voit très peu. Mais j'ai beaucoup aimé leurs années étudiantes.
J'avoue avoir été conquise par la belle Susan Lowenstein, cette femme stoïque qui cache aussi des fêlures et dont les sessions avec Tom vont lui faire autant de bien qu'à lui. Grâce à elle, les parties sur New York sont aussi prenantes que les scènes du passé.
Le style de l'auteur est très agréable à lire, le livre a beau faire plus de 1000 pages, il se lit très vite et je dois dire que j'avais envie d'être constamment plongée dedans. Comme j'ai dit par ailleurs, il devient poète pour parler de la Caroline du Sud et par ses mots, il sait aussi nous toucher quand il raconte la vie des Wingo. J'avoue avec eu souvent les larmes aux yeux et versé quelques larmes. J'ai été très triste de refermer le livre et de dire adieu à Tom, Savannah et les autres.
En conclusion, ce livre est un vrai coup de coeur pour moi et je ne veux pas en dire plus car il faut vraiment que vous le découvriez par vous-même. Sachez que si vous voulez plonger dans un vrai beau roman qui vous emporte, il est fait pour vous. Et si vous voulez savoir comment les enfants partirent à la rescousse de Snow le marsouin ou qui est le Prince des marées du titre, lisez-le. LISEZ-LE ! :)
Note :
+ +
C'est une lecture commune organisée par George avec Anne, Mimi54, Mrs Pepys, Miss Bouquinaix et Vilvirt.
Le livre est d'abord une formidable évocation du sud des États-Unis où, 100 ans après la guerre de Sécession, on appelle encore les noirs des "Négros" et où l'arrivé de l'un d'en eux dans un lycée blanc fait encore scandale. Le Sud ce sont aussi des hommes fiers, machos, racistes qui ne conçoivent pas de vivre ailleurs que dans leur sud bien-aimé et des femmes langoureuses qui conçoivent tout à fait de se faire traiter comme une belle plante, qu'on leur tienne la porte et autres choses qui font bondir les féministes new-yorkaises.
C'est à tout ce pan de l'histoire auquel nous assistons au travers des récits de Tom, mais aussi des paysages magnifiques et une époque qui disparaît peu à peu face au "progrès" et à l'avidité de certains. C'est le naufrage de ces marais et d'un certain Art de Vivre qu'on vit et on a beau parfois être rebuté par ces sudistes bornées, on ne peut s'empêcher de pleurer sur la disparition de ce mode de vie antagoniste avec le monde d'aujourd'hui.
Il faut dire aussi que Pat Conroy sait magnifiquement parler de cette région et que ses mots prennent des accents lyriques pour parler d'un paysage, d'un coucher de soleil ou du passage du marsouin Snow. Après, ça comment ne pas être touchée par cette Caroline du Sud ?
Bien sûr, le Prince des marées est avant tout l'histoire d'une famille ! Et quelle famille ! J'avoue avoir été happée par leur vie dès les premières pages, dès que Tom commence à raconter sa Caroline du Sud et qu'on fait connaissance avec lui.
Il y a des moments magiques, surtout entre les trois enfants qui se vouent un amour indéfectible et qui sont unis face à des parents sévères et parfois violents. J'ai beaucoup aimé les scènes de leur enfance, même si parfois certaines sont très dures. J'ai adoré les voir grandir, devenir des adultes, différents les uns des autres et que les tragédies vont unir ou parfois séparer. C'est une vraie fresque familiale que nous offre Pat Conroy sur presque 40 ans et je ne sais pas quoi dire de plus sans vous en raconter trop.
Mais le Prince des marées n'est pas seulement l'histoire de la famille Wingo c'est aussi le présent (enfin le présent dans le livre c'est à dire 1980-81) quand Tom passe plusieurs semaines à New York à essayer de comprendre et de faire comprendre pourquoi Savannah est une telle écorchée vive. J'ai beaucoup, mais alors beaucoup aimé, sa relation avec le Docteur Susan Lowenstein, faite de séduction et souvent d'incompréhension. Leurs joutes verbales sont un vrai bonheur.
Mais l'histoire ne serait pas la même sans ses personnages si attachants. À commencer par Tom. Tom, l'anti-héros, celui qui décide de ne rien décider, qui ne se bat contre rien et qui utilise l'humour comme une armure pour se protéger de l'extérieur. J'ai beaucoup aimé ce gars pris entre une soeur géniale et un frère qui se bat pour ses convictions. Je l'ai trouvé très touchant. J'ai aussi beaucoup aimé ses constantes contradictions et son humour perpétuel. Bien sûr cet humour cache ses fêlures mais j'aimais bien les réparties qu'il sortait, que ce soit à sa mère ou au Dr. Lowenstein. Difficile pour moi d'en parler plus car il faut que vous le découvriez par vous-mêmes.
La plus intéressante est bien sûr Savannah, l'adorable petite fille à la langue bien pendue, l'adolescente un peu perdue parfois, la malmené de la vie et considérée comme quantité négligeable par ses parents, parce que fille, la poète géniale et torturée, la soeur jumelle de Tom. C'est un vrai beau personnage de roman et j'ai regretté qu'on la voit assez peu finalement dans le présent.
Quant à Luke, le 3e larron, le frère aîné, ce n'est peut-être pas le plus intéressant mais j'ai aimé sa force tranquille, son jusqu'au-boutisme et sa façon de protéger ses frère et soeur plus jeune.
Comme le récit est vu à travers les yeux de Tom, les parents sont présentés comme étant des personnages assez abjects. Un père violent de façon erratique, qui a toujours des "bonnes idées" qui mettront plus d'une fois la famille sur la paille. Une mère superbe, qui se prend des coups, qui rêve d'une autre vie, et qui ne sait finalement pas s'y prendre avec ses enfants.
Sans vouloir absoudre la violence du père, bien au contraire, je pense qu'il faut replacer l'histoire dans son contexte et son époque. Il me semble que nombre de pères des années 50 aient eu la ceinture facile et la violence au bout des mains. Ça n'excuse pas Henry Wingo mais je pense qu'il n'est pas un cas unique.
J'ai beaucoup aimé les Grands-Parents Wingo. Je pense que sans eux, la vie des enfants aurait été un véritable enfer et qu'ils ont connu avec ces deux personnes-là, la tendresse qui leur manquait par ailleurs. Il n'y a qu'à voir comment Tom raconte les lubies de son grand-père et les frasques de sa grand-mère. J'ai particulièrement aimé celle-ci, la fantasque Tolitha, libre avant toutes les femmes, qui vit au rythme de ses passions.
Quand on fait connaissance de Sallie, la femme de Tom, au début, je me suis dit que j'allais beaucoup aimé la relation qu'elle avait avec Tom, cette façon dont ils se renvoyaient la balle avec humour et puis, sans en dire vraiment plus, finalement on la voit très peu. Mais j'ai beaucoup aimé leurs années étudiantes.
J'avoue avoir été conquise par la belle Susan Lowenstein, cette femme stoïque qui cache aussi des fêlures et dont les sessions avec Tom vont lui faire autant de bien qu'à lui. Grâce à elle, les parties sur New York sont aussi prenantes que les scènes du passé.
Le style de l'auteur est très agréable à lire, le livre a beau faire plus de 1000 pages, il se lit très vite et je dois dire que j'avais envie d'être constamment plongée dedans. Comme j'ai dit par ailleurs, il devient poète pour parler de la Caroline du Sud et par ses mots, il sait aussi nous toucher quand il raconte la vie des Wingo. J'avoue avec eu souvent les larmes aux yeux et versé quelques larmes. J'ai été très triste de refermer le livre et de dire adieu à Tom, Savannah et les autres.
En conclusion, ce livre est un vrai coup de coeur pour moi et je ne veux pas en dire plus car il faut vraiment que vous le découvriez par vous-même. Sachez que si vous voulez plonger dans un vrai beau roman qui vous emporte, il est fait pour vous. Et si vous voulez savoir comment les enfants partirent à la rescousse de Snow le marsouin ou qui est le Prince des marées du titre, lisez-le. LISEZ-LE ! :)
Note :
+ +
C'est une lecture commune organisée par George avec Anne, Mimi54, Mrs Pepys, Miss Bouquinaix et Vilvirt.
Ce livre se passant en Caroline du Sud,
il fait partie du Challenge 50 état - 50 billets de Sofynet
3/50
et comme il fait 1069 pages,
il fait aussi partie du Défi des 1000 de Fattorius
1
J'attendais IMPATIEMMENT ta chronique et je ne suis pas déçue. Tu m'as tout simplement conquise et je compte bien le lire avant la fin de l'année, dès que j'arrive à caser 1000 pages dans mon planning !
RépondreSupprimerMerci beaucoup Frankie ^^
C'est amusant, je l'ai lu vers l'âge de quatorze ans, ma mère l'adorait. Il a eu aussi une adaptation cinématographique il y a longtemps (avec Nick Nolte).
RépondreSupprimerJ'avais adoré ce livre,je m'étais toujours dit que j'allais le relire, tu m'en donnes très envie !
Très bel avis, bravo. Pourtant ce n'est pas si facile que cela de parler de ce livre sans trop en dire
RépondreSupprimerQuel chronique ! mais c'est un vieux livre (il me semble l'avoir déjà vu dans les mains de ma mère) pour un coup de cœur 2011. En tout cas, je le mets dans ma wish immédiatement : j'adore la Caroline du Sud :)
RépondreSupprimerJ'avais adoré ma lecture aussi et ça avait été un énorme coup de coeur aussi. Je ne sais pas si tu l'a déjà lu mais tu devrais tenter "Beach Music" qui est de toute aussi bonne qualité et qui avait été aussi un gros gros coup de coeur pour moi.
RépondreSupprimerEt voilà, j'ai envie de le lire maintenant ! ;o)))) Je vais devoir l'ajouter à ma liste de plus en plus longue....
RépondreSupprimerHop, billet ajouté !
Il est dans ma LAL depuis longtemps mais je tentais de l'emprunter rapidement pour le découvrir. Ta chronique donne très envie de s'y plonger :)
RépondreSupprimerAh! Vraiment contente que ce roman t'ait aussi plu qu'à moi. Tu le sais mais je le répète ^^ j'ai été happé par l'histoire, pas la psychologie des personnages, par le drame et l'amour présent dans ce roman.
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est un pavé mais c'est de magnifiques heures de lecture en perspective.
Et 1 point pour moi alors ;)
je confirme, un grand moment de lecture
RépondreSupprimerJ'adore ton billet et je vois que toi aussi tu es très enthousiaste ! Maintenant, j'ai bien envie de renouveler l'expérience avec d'autres livres de cet auteur !...
RépondreSupprimerComment ne pas se jeter sur ce pavé après un billet aussi enthousiaste ?? :) Je le note !!!
RépondreSupprimerJe crois que c'est un livre qui me plairait beaucoup ! Je note :)
RépondreSupprimerContinue de lire Conroy, moi j'ai tout lu ses livres, et j'ai aimé, une analyse de la famille, vraiment un très bon auteur.l
RépondreSupprimer@Cajou, si tu as peu des 1000 pages, dis-toi qu'il se lit très vite si on l'aime, aussi vite qu'un livre de 350 pages.
RépondreSupprimer@Electra, en fait, avant que Nelfe ne parle de ce livre, je ne connaissais le titre que par le film de Barbra Streisand que je compte bien voir. En revanche, j'ai du mal à imaginer Streisand en docteur Lowenstein et Nick Nolte en Tom.
@Mimi, oui et quand on aime, on voudrait tout raconter !
@Mypianocanta, oui il date de 1988.
@Deliregirl, je compte bien lire d'autres livres de Conroy maintenant !
@Sofynet, je suis heureuse de donner envie de le lire !
@Belledenuit, oui si tu peux l'avoir, lis-le !
@Nelfe, oui tout pareil que toi ! :)
@Pom', tout à fait.
@Vilvirt, moi également. Si les autres sont aussi bien, ce sera génial.
@Morgouille, merci !
@Luna, ravie de voir que je fais des adeptes ! :)
@Fleurdelivres, je compte bien en lire d'autres !
Merci pour vos commentaires !
Un coup de coeur pour toi et un livre de plus dans ma LAL mais en fluo pour le lire au plus vite !
RépondreSupprimerOui, si tu dois lire un livre de ceux que j'ai lus cet été, c'est bien évidemment celui-ci !
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire !
Quelle belle chronique ! Je viens de rédiger la mienne et je suis triste de n'avoir pas pu exprimer mon enthousiasme aussi bien que toi :)
RépondreSupprimerMerci ! La tienne est très bien aussi, je te rassure ! Merci de ton passage ici et pour ton commentaire !
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