Titre original : Papurika
avec Megumi Hayashibara, Torû Furuya, Kôichi Yamadera
Dans le futur, une machine créée par le Dr Tokita, un gros jeune homme timide, permet d'entrer dans les rêves des gens et la technique, en phase d'expérimentation, pourra être utiliser comme traitement thérapeutique. Atsuko Chiba utilise déjà la méthode sur le commissaire Toshimi Konokawa, conseillé par le vieux docteur Torataro Shima. Mais voilà que trois prototypes sont volés et la docteure Chiba enquête dans le monde des rêves grâce à son alter égo, Paprika...
Mon avis :
Voilà encore un film d'animation japonais dont je n'avais jamais entendu parler avant de le voir dans les Challenges Seriebox. Comme il fait partie des rares films que j'ai à voir pour le Mini Challenge SF, je l'ai regardé début février. Ce n'est pas un film qui m'a passionnée mais je l'ai trouvé pas mal quand même.
Si en regardant le film, il vous fait penser à Inception, sachez que ce n'est pas fortuit :) En effet, Nolan a dit s'être inspiré de Paprika et c'est vrai que la thématique des rêves à plusieurs niveaux s'y retrouve, tout comme d'autres petites choses. Mais cela n'empêche pas le film de Nolan d'être excellent.
Pour en revenir à Paprika, c'est donc un film qui se regarde aussi à plusieurs niveaux, il y a toute la partie onirique avec certaines contraintes qui n'existent plus et le fait qu'on finit (et les personnages aussi) ne plus trop savoir si on est dans la réalité ou le rêve. Il y a la partie enquête, afin de savoir qui a volé les prototypes et il y a aussi l'histoire du commissaire dont on ne sait pas comment elle vient s'imbriquer dans tout cela.
Cela donne du coup un film un peu fouillis, en tout cas pas toujours très clair (mais c'est le propre de ces films, non ? :D), où il faut être attentif sous peine de perdre le fil et de se demander ce qu'il se passe :D C'est un peu ce qui m'est arrivé... Du coup, ensuite, j'ai eu un peu de mal à me replonger dedans.
Je n'ai pas eu beaucoup d'attachement pour les personnages à part pour Atsuko Chiba/Paprika, efficace et sévère dans la réalité, mutine et sympathique dans les rêves et Paprika va avoir une heureuse influence sur Atsuko.
Le personnage du commissaire est assez intéressant, surtout par rapport à ses rêves et ce qu'ils signifient et la façon dont il vont permettre à l'homme de s'accepter.
Le vieux docteur Shima est assez semblable à d'autres vieux personnages vus dans les animés japonais, pas très original donc.
Quant aux méchants, ils ne sont pas non plus surprenants :)
Visuellement, le film est très beau et plein de scènes originales permises par les rêves. Cependant, on y retrouve des images vues dans d'autres films, avec des parades avec des perso géants, des poupées qui font un peu peur, je ne sais pas, j'ai eu l'impression d'avoir déjà cela maintes fois (et pourtant je n'ai pas vu tant de dessins animés japonais que ça ! :)
En conclusion, Paprika ne fera pas partie de mes films d'animation japonais préférés mais je suis contente de l'avoir découvert. Et si vous aussi vous voulez voir ce film qui a inspiré Inception, regardez-le.
Note :
Vu en version originale japonaise sous-titrée en anglais
Si en regardant le film, il vous fait penser à Inception, sachez que ce n'est pas fortuit :) En effet, Nolan a dit s'être inspiré de Paprika et c'est vrai que la thématique des rêves à plusieurs niveaux s'y retrouve, tout comme d'autres petites choses. Mais cela n'empêche pas le film de Nolan d'être excellent.
Pour en revenir à Paprika, c'est donc un film qui se regarde aussi à plusieurs niveaux, il y a toute la partie onirique avec certaines contraintes qui n'existent plus et le fait qu'on finit (et les personnages aussi) ne plus trop savoir si on est dans la réalité ou le rêve. Il y a la partie enquête, afin de savoir qui a volé les prototypes et il y a aussi l'histoire du commissaire dont on ne sait pas comment elle vient s'imbriquer dans tout cela.
Cela donne du coup un film un peu fouillis, en tout cas pas toujours très clair (mais c'est le propre de ces films, non ? :D), où il faut être attentif sous peine de perdre le fil et de se demander ce qu'il se passe :D C'est un peu ce qui m'est arrivé... Du coup, ensuite, j'ai eu un peu de mal à me replonger dedans.
Je n'ai pas eu beaucoup d'attachement pour les personnages à part pour Atsuko Chiba/Paprika, efficace et sévère dans la réalité, mutine et sympathique dans les rêves et Paprika va avoir une heureuse influence sur Atsuko.
Le personnage du commissaire est assez intéressant, surtout par rapport à ses rêves et ce qu'ils signifient et la façon dont il vont permettre à l'homme de s'accepter.
Le vieux docteur Shima est assez semblable à d'autres vieux personnages vus dans les animés japonais, pas très original donc.
Quant aux méchants, ils ne sont pas non plus surprenants :)
Visuellement, le film est très beau et plein de scènes originales permises par les rêves. Cependant, on y retrouve des images vues dans d'autres films, avec des parades avec des perso géants, des poupées qui font un peu peur, je ne sais pas, j'ai eu l'impression d'avoir déjà cela maintes fois (et pourtant je n'ai pas vu tant de dessins animés japonais que ça ! :)
En conclusion, Paprika ne fera pas partie de mes films d'animation japonais préférés mais je suis contente de l'avoir découvert. Et si vous aussi vous voulez voir ce film qui a inspiré Inception, regardez-le.
Note :
Vu en version originale japonaise sous-titrée en anglais
Le film fait partie du Mini Challenge Animation de Seriebox
2/9
35/50
du Mini Challenge SF de Seriebox
1/03
(2/10
extended)
92/100
extended)
92/100
et du Challenge Le film de la semaine 2018 de Benji
6/52