Titre original : The Kite Runner
Résumé :
Résumé :
Dans le Kaboul des années 60 et 70, Amir et Hassan grandissent côte à côte, comme des frères. Amir est un Pachtoun sunnite tandis qu'Hassan est un Hazara chiite et son serviteur de par ses origines. Malgré tout, ils vivent heureux et leur enfance s'égrène au rythme des concours de cerfs-volants l'hiver. Jusqu'au jour où Amir fait preuve de lâcheté envers Hassan et leur amitié est brisée à jamais. Le remord poursuivra longtemps le jeune homme, même quand il s'exile avec son père aux État-Unis après l'invasion soviétique dans son pays. En août 2001, il reçoit un coup de fil qui lui dit qu'il a enfin l'occasion de se racheter. Et voilà Amir qui retourne dans l'Afghanistan des Talibans et l'occasion pour lui de se mettre en paix...
Mon avis :
Cela faisait longtemps que j'avais ce livre dans ma Pal, depuis bien 3 ans et je ne trouvais jamais le temps de l'en sortir. Déjà l'an dernier, j'avais voulu le lire mais l'occasion fut manquée. Aussi, cette année, j'ai fait ni une ni deux et j'ai organisé une lecture commune sur Les cerfs-volants pour "m'obliger" à le lire. Et j'ai bien fait. Car ce livre est une merveille ! Je l'ai adoré.
Dans les années 1960 et 70, la vie à Kaboul est agréable et douce... pour qui a de l'argent. Amir a la chance d'être né Pachtoun et Sunnite, fils d'un riche homme d'affaires. Il souffre de ne pas être tel que son père le voudrait et fait tout pour attirer son attention et son amour. Il grandit en compagnie de Hassan qui lui est né Hazara et Chiite. Dans une Afghanistan qui pratique pratiquement un système de caste, être un Hazara chiite c'est être considéré comme un moins que rien et être en butte aux préjugés. Voilà pourquoi Hassan est le serviteur d'Amir alors qu'ils ont été élevés ensemble et grandissent comme des frères. Voilà pourquoi Amir ne pourra jamais considérer son frère de lait comme son meilleur ami. Et pourtant, ils en partagent des jeux pendant les 12 premières années de leur vie dont les concours de Cerfs-volants où tous deux excellent à surpasser leurs concurrents ! C'est d'ailleurs à l'occasion d'un de ces fameux concours que Amir commet la pire des lâchetés envers Hassan, lâcheté qui va briser leur amitié et laisser Amir avec ses remords...
1981, les russes occupent l'Afghanistan et Amir et son père partent vivre en Californie parmi la communauté Afghane.
Août 2001, Amir reçoit un coup de fil qui lui dit qu'il a l'occasion de racheter sa faute et qu'il doit venir d'urgence au Pakistan. De là, il va partir pour un voyage éprouvant dans le Kabout des Talibans marcher sur les traces de son passé et peut-être finir par faire la paix avec lui-même...
J'essaie d'épurer au maximum mon résumé car ce serait dommage de vous dévoiler ce livre. C'est un roman qui se découvre, qui se déguste et qu'il faut lire ! Comme je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt ! C'est vraiment une histoire magnifique, terrible et prenante.
Le roman se découpe en 3 parties distinctes:
La vie des deux enfants dans les années 60 et 70. L'exil d'Amir et son père aux USA puis le retour d'Amir à Kaboul à l'été 2001. Chaque partie est
J'ai été emportée par l'histoire tragique de ces deux enfants que le malheur a frappé à un moment. J'ai été emportée par l'Histoire avec un grand H, l'invasion russe, lesTalibans dont on connaît maintenant la cruauté depuis 10 ans. Ensuite, j'ai été émue par le retour d'Amir sur les traces de son passé, retrouvant les rues de son enfance mais ô combien différentes !
On ne peut pas parler de ce livre et de Kaboul sans bien sûr évoquer son Histoire. Je ne savais pas grand-chose de l'Afghanistan avant qu'on en parle en 2001. Mais on peut supposer qu'on y vivait comme dans bien d'autres pays semblables, comme l 'Égypte ou l'Iran, avec ses riches et ses pauvres. Je trouve que l'auteur arrive superbement bien à retranscrire la vie à Kaboul en 70, les cinémas qui passaient des films étrangers, les marchés colorés, les difficultés (pour ne pas dire les exactions) rencontrées par ceux qui ne faisaient pas partie des Pachtoun pour la tribu ou des Sunnites pour la religion. L'Inde et son système de caste n'étant pas très loin, j'ai parfois eu l'impression de le retrouver malheureusement dans le mode de vie afghan. Mais si on peut s'indigner de la façon dont étaient traités certains afghans sous la monarchie, que dire alors de l'horreur subie par ces pauvres gens quand les Talibans ont pris le pouvoir et qui ont imposé un islamisme intégriste issu du Wahhabisme saoudien !
On a tous en tête la destruction des bouddhas de Bamiyan au printemps 2001 et les femmes engrillagées sous des burkas, fantômes bleus n'ayant pas le droit à la parole. Dans le livre, il y a plusieurs scènes chocs (et choquantes) quand Amir retourne à Kaboul mais celle qui m'a le plus marquée c'est celle, plus anecdotique, de cette femme allant au marché un jour, s'indignant contre le marchand et s'adressant à lui "comme avant" et se faisant réprimander fortement par la police de moeurs parce qu'on ne s'adresse pas directement aux hommes. On s'aperçoit que les pauvres afghans ont basculé tout à coup dans l'archaïsme le plus dur. Depuis le renversement des Talibans, je ne sais plus du tout si les femmes sont encore obligées ou pas de se couvrir pour sortir ou si leur situation a changé.
Pour en revenir au roman, la partie historique, toute importante soit-elle, n'est qu'une toile de fond et c'est bien l'histoire d'Amir et d'Hassan qui est importante. Sans les non-dits et les secrets, les deux enfants auraient pu devenir plus proches et Amir aurait peut-être réagi différemment lors de ce terrible hiver de 1975. Hassan idôlatrait Amir qui le considérait comme son serviteur et qui voulait, lui, se faire remarquer de son père, indifférent. Toute la tragédie découle de là.
Pour moi les deux parties les plus intéressantes sont bien sûr l'enfance d'Amir et d'Hassan puis le retour d'Amir au Pakistan et en Afghanistan. Mais la partie où on suit sa vie aux USA est très bien aussi. Je l'ai trouvée plus mélancolique, avec le père qui décline et qui n'est plus le flamboyant homme d'affaires afghan qui recevait le tout Kaboul. J'ai beaucoup aimé cette immersion dans la communauté afghane aux USA et voir grandir et vieillir Amir.
La dernière partie sur le retour d'Amir dans son pays natal est des plus poignantes. Sans vouloir trop en dire, c'est celle qui amène le plus les larmes aux yeux et l'on vit avec Amir chacun de ses pas dans kaboul, chacune de ses rencontres, bonnes ou mauvaises.
Concernant les personnages, il y a bien sûr Amir le personnage principal et le narrateur. Il est sans concession envers lui et ses actes et on sent bien toute la détresse de cet enfant sans mère qui ne cherche qu'à plaire à son père et qui n'y arrive pas. Ainsi que sa jalousie envers Hassan qu'il considère comme un sous-fifre, pas forcément parce qu'il est Hazara mais parce que son père éprouve plus d'intérêt envers ce garçon. J'ai beaucoup aimé l'adulte qu'il devient même s'il est finalement toujours un peu en retrait par rapport aux événements ! Je ne sais pas très bien comment l'expliquer, mais on sent une distance entre lui et sa vie, sans doute à cause de la culpabilité qu'il éprouve pendant presque un demi-siècle. Il raconte sa vie mais sans avoir l'air de beaucoup s'y impliquer, même s'il aime sa femme, sa vie américaine. Mais c'est quand il retourne à Kaboul qu'il laisse enfin tomber le masque et ses émotions.
J'ai énormément aimé Hassan, ce jeune garçon a qui la vie n'a rien donné et qui est toujours joyeux, fidèle, amical et donnerait sa vie pour Amir et dont il ne doute pas un instant que ce soit réciproque même s'il sent la distance entre eux du fait de leurs conditions sociales respectives.
Quant aux autres personnages, certains sont touchants, attachants, comme Soraya l'épouse d'Amir, ou Rahim Khan, l'ami du père d'Amir, un homme bon qui comprend tout, d'autres moins comme le père mais comme il est vu à travers les yeux de son fils on peut penser que ce n'est pas une vision très objective ! :)
La plume (du moins sa traduction) de l'auteur est très belle, fluide. On se laisse porter par ses mots qui nous emportent dans Kaboul ou aux État-Unis, qui nous font frémir ou pleurer. J'ai trouvé ce livre très agréable à lire, très poignant parfois et la fin nous émeut profondément. C'est un livre dont la petite musique me reste en tête et que j'ai envie de relire si je peux.
En conclusion, un magnifique livre sur deux enfants pris dans les tourments de leurs conditions, sur la vie en Afghanistan et ce qu'est devenu ce pays et si vous voulez savoir quelle lâcheté Amir a pu commettre envers Hassan ou ce qu'ils sont tous devenus 25 ans après, lisez cette superbe histoire ! C'est un véritable coeur de coeur en ce qui me concerne et vous savez que je ne suis pas très "coup de coeur" ! :)
Note :
C'est donc une lecture commune que j'ai organisée et à laquelle participent Nanet, Léo Elfique, isa1977, Exxlibris, (A S K), Stellade, Céline031, Livrons-nous, Fleurdusoleil, ô pale étoile, Felina, Yogi, Eden-Space, Bambi_Slaughter, Achille49 et Korto.
J'essaie d'épurer au maximum mon résumé car ce serait dommage de vous dévoiler ce livre. C'est un roman qui se découvre, qui se déguste et qu'il faut lire ! Comme je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt ! C'est vraiment une histoire magnifique, terrible et prenante.
Le roman se découpe en 3 parties distinctes:
La vie des deux enfants dans les années 60 et 70. L'exil d'Amir et son père aux USA puis le retour d'Amir à Kaboul à l'été 2001. Chaque partie est
J'ai été emportée par l'histoire tragique de ces deux enfants que le malheur a frappé à un moment. J'ai été emportée par l'Histoire avec un grand H, l'invasion russe, lesTalibans dont on connaît maintenant la cruauté depuis 10 ans. Ensuite, j'ai été émue par le retour d'Amir sur les traces de son passé, retrouvant les rues de son enfance mais ô combien différentes !
On ne peut pas parler de ce livre et de Kaboul sans bien sûr évoquer son Histoire. Je ne savais pas grand-chose de l'Afghanistan avant qu'on en parle en 2001. Mais on peut supposer qu'on y vivait comme dans bien d'autres pays semblables, comme l 'Égypte ou l'Iran, avec ses riches et ses pauvres. Je trouve que l'auteur arrive superbement bien à retranscrire la vie à Kaboul en 70, les cinémas qui passaient des films étrangers, les marchés colorés, les difficultés (pour ne pas dire les exactions) rencontrées par ceux qui ne faisaient pas partie des Pachtoun pour la tribu ou des Sunnites pour la religion. L'Inde et son système de caste n'étant pas très loin, j'ai parfois eu l'impression de le retrouver malheureusement dans le mode de vie afghan. Mais si on peut s'indigner de la façon dont étaient traités certains afghans sous la monarchie, que dire alors de l'horreur subie par ces pauvres gens quand les Talibans ont pris le pouvoir et qui ont imposé un islamisme intégriste issu du Wahhabisme saoudien !
On a tous en tête la destruction des bouddhas de Bamiyan au printemps 2001 et les femmes engrillagées sous des burkas, fantômes bleus n'ayant pas le droit à la parole. Dans le livre, il y a plusieurs scènes chocs (et choquantes) quand Amir retourne à Kaboul mais celle qui m'a le plus marquée c'est celle, plus anecdotique, de cette femme allant au marché un jour, s'indignant contre le marchand et s'adressant à lui "comme avant" et se faisant réprimander fortement par la police de moeurs parce qu'on ne s'adresse pas directement aux hommes. On s'aperçoit que les pauvres afghans ont basculé tout à coup dans l'archaïsme le plus dur. Depuis le renversement des Talibans, je ne sais plus du tout si les femmes sont encore obligées ou pas de se couvrir pour sortir ou si leur situation a changé.
Pour en revenir au roman, la partie historique, toute importante soit-elle, n'est qu'une toile de fond et c'est bien l'histoire d'Amir et d'Hassan qui est importante. Sans les non-dits et les secrets, les deux enfants auraient pu devenir plus proches et Amir aurait peut-être réagi différemment lors de ce terrible hiver de 1975. Hassan idôlatrait Amir qui le considérait comme son serviteur et qui voulait, lui, se faire remarquer de son père, indifférent. Toute la tragédie découle de là.
Pour moi les deux parties les plus intéressantes sont bien sûr l'enfance d'Amir et d'Hassan puis le retour d'Amir au Pakistan et en Afghanistan. Mais la partie où on suit sa vie aux USA est très bien aussi. Je l'ai trouvée plus mélancolique, avec le père qui décline et qui n'est plus le flamboyant homme d'affaires afghan qui recevait le tout Kaboul. J'ai beaucoup aimé cette immersion dans la communauté afghane aux USA et voir grandir et vieillir Amir.
La dernière partie sur le retour d'Amir dans son pays natal est des plus poignantes. Sans vouloir trop en dire, c'est celle qui amène le plus les larmes aux yeux et l'on vit avec Amir chacun de ses pas dans kaboul, chacune de ses rencontres, bonnes ou mauvaises.
Concernant les personnages, il y a bien sûr Amir le personnage principal et le narrateur. Il est sans concession envers lui et ses actes et on sent bien toute la détresse de cet enfant sans mère qui ne cherche qu'à plaire à son père et qui n'y arrive pas. Ainsi que sa jalousie envers Hassan qu'il considère comme un sous-fifre, pas forcément parce qu'il est Hazara mais parce que son père éprouve plus d'intérêt envers ce garçon. J'ai beaucoup aimé l'adulte qu'il devient même s'il est finalement toujours un peu en retrait par rapport aux événements ! Je ne sais pas très bien comment l'expliquer, mais on sent une distance entre lui et sa vie, sans doute à cause de la culpabilité qu'il éprouve pendant presque un demi-siècle. Il raconte sa vie mais sans avoir l'air de beaucoup s'y impliquer, même s'il aime sa femme, sa vie américaine. Mais c'est quand il retourne à Kaboul qu'il laisse enfin tomber le masque et ses émotions.
J'ai énormément aimé Hassan, ce jeune garçon a qui la vie n'a rien donné et qui est toujours joyeux, fidèle, amical et donnerait sa vie pour Amir et dont il ne doute pas un instant que ce soit réciproque même s'il sent la distance entre eux du fait de leurs conditions sociales respectives.
Quant aux autres personnages, certains sont touchants, attachants, comme Soraya l'épouse d'Amir, ou Rahim Khan, l'ami du père d'Amir, un homme bon qui comprend tout, d'autres moins comme le père mais comme il est vu à travers les yeux de son fils on peut penser que ce n'est pas une vision très objective ! :)
La plume (du moins sa traduction) de l'auteur est très belle, fluide. On se laisse porter par ses mots qui nous emportent dans Kaboul ou aux État-Unis, qui nous font frémir ou pleurer. J'ai trouvé ce livre très agréable à lire, très poignant parfois et la fin nous émeut profondément. C'est un livre dont la petite musique me reste en tête et que j'ai envie de relire si je peux.
En conclusion, un magnifique livre sur deux enfants pris dans les tourments de leurs conditions, sur la vie en Afghanistan et ce qu'est devenu ce pays et si vous voulez savoir quelle lâcheté Amir a pu commettre envers Hassan ou ce qu'ils sont tous devenus 25 ans après, lisez cette superbe histoire ! C'est un véritable coeur de coeur en ce qui me concerne et vous savez que je ne suis pas très "coup de coeur" ! :)
Note :
C'est donc une lecture commune que j'ai organisée et à laquelle participent Nanet, Léo Elfique, isa1977, Exxlibris, (A S K), Stellade, Céline031, Livrons-nous, Fleurdusoleil, ô pale étoile, Felina, Yogi, Eden-Space, Bambi_Slaughter, Achille49 et Korto.
Ce livre fait aussi partie du Big Challenge Livraddict 2011
5/12
Il compte aussi pour le Baby Challenge Drame
8/20
Et il est le H de mon challenge 26 livres - 26 auteurs
3/26
Un livre magnifique, j'avais beaucoup aimé.
RépondreSupprimerJe l'ai lu il y a 3 ans de ça et je me rappelle avoir eu du mal à le lire tant certains passages me bouleversaient. Je sais aussi que ce ne fût pas un coup de coeur.
RépondreSupprimerComme je te l'ai dit sur le forum Livraddict, je n'ai malheureusement pas été conquise par ce roman, mais je le conseille quand même. Car comme je le précise dans ma chronique, l'écriture de Hosseini est très belle, mais aussi ert surtout c'est un roman qui se ressent seul, on ne peut pas ne pas le lire, même si au final il n'apporte pas l'émotion tant espérée.
RépondreSupprimerIl me semble qu'il fait parti des livres du baby-challenge livraddict Drame...
RépondreSupprimerEn tout cas, j'espère, ton avis m'a intriguée :)
Merci d'être passée !
Je n'ai fait que survoler ton billet car je n'ai pas encore lu ce roman qui est dans ma PAL depuis presque un an et demi, voir deux ans, car je ne voudrais pas trop savoir ce qui s'y passe.
RépondreSupprimerJ'avais beaucoup aimé le 2e roman de Hosseïni: "Mille Soleils Splendides" qui m'avait bouleversé à un tel point que j'ai eu du mal à lire certains passages tellement ma vue était brouillée par les larmes. Un roman bouleversant et la belle plume de Hosseïni m'avait comblé. Si tu ne l'a pas encore lu, je te le conseille.
Pour ma part, il faudrait que je sorte "les cerfs volants..." de ma gigantesque PAL.
Tu as vu le film qui en a été tiré?
Une très belle découverte :)
RépondreSupprimerMerci à toi pour l'organisation de cette lecture commune :)
Moi aussi, j'ai beaucoup aimé ce livre et ta chronique est très bien faite ! :)
RépondreSupprimerUn énorme coup de COEUR pour moi aussi!!
RépondreSupprimerMerci pour cette LC.
je ne sais pas si je l'aurai lu .
Il m'a chamboulé!!!
Merci,merci,merci.
je vais lire "Mille soleils splendides"
Bien content d'avoir encore partagé une lecture avec toi qui est magnifique de plus ;)
RépondreSupprimerJe sais que je devrais le lire... Je sais que ça me plairait. Y'a quà lire ton billet pour en être convaincue... Et pourtant. Pourtant. Quelque chose me retient. Je sais pas quoi...
RépondreSupprimerSi je peux adresser un message à Cess : j'ai longuement hésité, alors que je le savais superbe. J'en ressors conquise (sans y donner la note maxi du c-de-coeur). Alors, Merci Frankie de m'avoir entrainé dans cette belle lecture.
RépondreSupprimerBiz
J'avais anticiper ton avis positif en le commandant. il va s'en dire que je ne regrette pas mon achat en regardant ta chronique. :)
RépondreSupprimerCe livre m'avait vraiment bouleversé à l'époque...
RépondreSupprimerj'aimerai le lire cette année donc du coup, je n'ai lu que le début de ton billet pour ne pas être "influencée"
RépondreSupprimerMerci pour l'organisation de cette LC ! c'est une très belle découverte que ce livre !
RépondreSupprimerTa chronique est très riche ! j'ai moi aussi été particulièrement touchée par le personnage d'Hassan...
Oui, un très beau livre, très touchant
RépondreSupprimerJe l'ai lu il y a un bon moment mais j'en garde un super souvenir
Il est dans ma PAL depuis des mois mais ton avis me donne envie de l'en sortir de suite pour m'y plonger !
RépondreSupprimer@Laure, magnifique est le mot.
RépondreSupprimer@Belledenuit, certains passages m'ont vraiment émue aussi, au point de devoir ralentir.
@Fleurdusolei, dommage mais tout le monde ne peut pas avoir le même avis.
@Luna, oui il est dans le Drame et dans le Big Challenge également.
@Will, je compte bien lire 1000 soleils splendides. Tu verras que Les cerfs-volants est aussi prenant. Je n'ai pas vu le film mais c'est la bande-annonce qui m'avait donné envie d'acheter le livre.
@Isa, mais de rien !
@Bambi, merci !
@Stellade, merci et merci à toi d'avoir participé !
@Korto, oui un livre magnifique !
@Cess, tu aurais dû faire la LC avec nous, ç'aurait été la motivation ! Sinon, nos avis devraient te faire changer d'avis ! Lis-le ! :)
@Nanet, de rien ! Moi, ce fut un vrai coup de coeur !
@Lexou, il ne te reste plus qu'à le lire !
@Val, je crois qu'il touche tous ceux qui le lisent.
@Véro, j'espère qu'il te plaira !
@ô pale étoile, c'est vrai qu'Hassan est le personnage le plus émouvant et attachant.
@Kikine, je pense que c'est un livre qui reste longtemps en mémoire.
@Delph, lis-le vite ! :)
Merci pour vos commentaires !
Je ne le connais toujours pas celui-ci, et pourtant il est dans ma bibli depuis près de 5 ans. Rouuuuuh c'te honte de laisser de tels livres prendre la poussière.
RépondreSupprimerOui, tu devrais l'en sortir, tu ne le regretteras pas ! Merci pour ton commentaire, Leiloona !
RépondreSupprimerDans ma PAL aussi, mais sa lecture devra attendre encore un peu.
RépondreSupprimerC'est un style que je lis peu mais j'ai quand même hâte de le découvrir.
J'ai ADORE ce livre !
RépondreSupprimerL'histoire d' Amir et Hassan est particulièrement touchante, et l'écriture d' Hosseini touche en plein coeur. Un récit que je conseille à tout le monde. ;)
@SophieLJ, j'espère que tu l'aimeras. Tu verras, tu regretteras de ne pas l'avoir lu avant ! :)
RépondreSupprimer@Oasis de lettres, c'est, pour le moment, ma lecture préférée de 2011.
Merci pour vos commentaires !